Dossier sur le site EVENE
Quarante ans plus tard les effluves d'une révolte juvénile embaument encore les rues de Paris, les magazines, la presse, les médias, les débats, les conversations au comptoir, les conférences, la politique, etc. On commémore, enterre, exalte ; certains veulent en finir, liquider, d'autres suggèrent d'oublier ou de parachever, d'accomplir.
Mon commentaire : Comment ne pas évoquer en ces jours et 40 ans plus tard, ce moment de libération essentiel qui comme toute libération a donné le meilleur mais aussi parfois le pire. La libération de l'individu des chaines d'un corps social trop rigide mais aussi le culte de l'égo dans une société qui a souvent remplacé ses curés (mais pas ses patrons et ses généraux) par un tas de psycho-machins de différentes obédiences conduisant aussi parfois à remplacer la transcendance humaniste par l'immanence matérialiste...
Quarante ans plus tard les effluves d'une révolte juvénile embaument encore les rues de Paris, les magazines, la presse, les médias, les débats, les conversations au comptoir, les conférences, la politique, etc. On commémore, enterre, exalte ; certains veulent en finir, liquider, d'autres suggèrent d'oublier ou de parachever, d'accomplir.
Mon commentaire : Comment ne pas évoquer en ces jours et 40 ans plus tard, ce moment de libération essentiel qui comme toute libération a donné le meilleur mais aussi parfois le pire. La libération de l'individu des chaines d'un corps social trop rigide mais aussi le culte de l'égo dans une société qui a souvent remplacé ses curés (mais pas ses patrons et ses généraux) par un tas de psycho-machins de différentes obédiences conduisant aussi parfois à remplacer la transcendance humaniste par l'immanence matérialiste...