Hugo Claus est mort
L'écrivain flamand Hugo Claus est mort mercredi à 78 ans dans un hôpital d'Anvers, après avoir demandé à être euthanasié.
Dans son roman le plus célèbre, Le chagrin des Belges, il décrit avec un lyrisme brutal et truculent une certaine médiocrité réactionnaire du milieu provincial flamand. Il y dénonce la collaboration flamande avec l'occupant allemand pendant la Seconde Guerre mondiale, un des thèmes tabous de la politique belge.
Mon commentaire : Voici un grand écrivain (J'avais savouré "le Chagin des Belges") un grand homme que j'installe sans hésitation dans mon Panthéon personnel au côté d'un Jacques Brel. Hugo Claus a eu la chance de pouvoir choisi de mourir digne et debout , restant cohérent ainsi dans son approche et dans son combat contre la médiocrité ordinaire.
Cette dernière n'étant ni l'apanage des seuls réactionnaires, ni encore moins celle du milieu provincial flamand, il reste bien des combats à mener, des dignités à préserver, quoiqu'il en coute, de l'ostracisme des conformistes, des faux modestes et des faux sages, des "consensuelisateurs" mous jusqu'aux humiliations infligées par les orthopédistes morbides de la pensée.
Les brav's gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux disait Brasssens...
Dans son roman le plus célèbre, Le chagrin des Belges, il décrit avec un lyrisme brutal et truculent une certaine médiocrité réactionnaire du milieu provincial flamand. Il y dénonce la collaboration flamande avec l'occupant allemand pendant la Seconde Guerre mondiale, un des thèmes tabous de la politique belge.
Mon commentaire : Voici un grand écrivain (J'avais savouré "le Chagin des Belges") un grand homme que j'installe sans hésitation dans mon Panthéon personnel au côté d'un Jacques Brel. Hugo Claus a eu la chance de pouvoir choisi de mourir digne et debout , restant cohérent ainsi dans son approche et dans son combat contre la médiocrité ordinaire.
Cette dernière n'étant ni l'apanage des seuls réactionnaires, ni encore moins celle du milieu provincial flamand, il reste bien des combats à mener, des dignités à préserver, quoiqu'il en coute, de l'ostracisme des conformistes, des faux modestes et des faux sages, des "consensuelisateurs" mous jusqu'aux humiliations infligées par les orthopédistes morbides de la pensée.
Les brav's gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux disait Brasssens...
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