Le Monde : "Le jour où la flamme a vacillé"
Une des images fortes de ce lundi noir olympique restera votre face-à-face avec un accompagnateur chinois particulièrement zélé, qui vous a coupé net la flamme sous le nez !
À ce moment-là, c'est comme si je prenais une gifle et qu'on jetait à terre les anneaux olympiques. On ne nous a pas respectés. On nous a plantés là. Il faut dire les choses comme elles sont : on nous a considérés comme des merdes ! Et si les Chinois considèrent les athlètes comme tels, imaginez ce que cela va être aux Jeux !
David Douillet : " On nous a considérés comme des merdes "
Propos recueillis par Gérald Mathieu myfreesport.fr
Mon commentaire : Quand la "naïveté" sportive est confronté à la réalité de la mascarade des autorités chinoises, en 2008 pas plus qu'en 1936 "l'apolitisme" du consensus mou et du consumérisme planétaire ne peux plus ignorer le totalitarisme criminel de son époque, le sport n'a jamais sauvé la vie des persecutés, à moins de les aider à courir vite devant les balles de leurs tortionnaires.
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